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Auteur/autrice : kiara

Calculatrice d’impôt et revenus de placement

Une calculatrice financière tel que cette calculatrice d’impôt et de revenus de placement est un outil pratique utilisé pour déterminer le montant des impôts que vous devrez payer, en fonction de votre lieu de résidence, et le montant que vous garderez dans votre poche. Cette calculatrice est particulièrement utile si vous avez plusieurs sources de revenus d’investissement, car elles sont imposées à des taux différents.

Pourquoi utiliser une calculatrice d’impôts et de revenus d’investissement ?

Comprendre vos obligations fiscales

Le calcul manuel des impôts et des revenus d’investissement peut être source d’erreurs sans une calculatrice financière. L’utilisation d’une calculatrice peut vous apporter clarté et assurance lorsqu’il s’agit de gérer vos responsabilités fiscales. En saisissant des informations financières pertinentes, la calculatrice peut générer des estimations fiscales pour différents types de revenus d’investissement, ce qui vous permet de mieux comprendre vos obligations fiscales.

Informations sur vos investissements

Les intérêts, les plus-values et les dividendes éligibles sont trois types de revenus d’investissement possibles. Comme ils sont imposés à des taux différents, une calculatrice d’impôt et revenus de placement peut vous aider à comparer leur incidence après impôt. Cela peut vous aider à prendre des décisions d’investissement plus éclairées sur le type d’investissement qui offre les meilleurs rendements.

Comment fonctionne une calculatrice d’impôt et revenus de placement ?

Pour utiliser une calculatrice d’impôts et de revenus de placement, vous avez besoin de deux informations de base :

  • Votre revenu imposable (que vous trouverez à la ligne 260 de votre déclaration d’impôt sur le revenu)
  • Le montant des revenus d’investissement

La calculatrice utilise ces données pour calculer le montant total de l’impôt que vous devrez payer et le montant que vous pourrez conserver et le montant que vous conserverez en fonction du montant des revenus de placement que vous avez indiqué.

Avantages de l’utilisation d’une calculatrice d’impôt et revenus de placement

Pour les nouveaux investisseurs

L’utilisation d’une calculatrice d’impôt et revenus de placement permet aux nouveaux investisseurs de se constituer un patrimoine en leur donnant une idée claire de l’impact des revenus d’investissement et des impôts sur l’accumulation du patrimoine. Il les oriente vers des décisions d’investissement fiscalement avantageuses et les aide à déterminer la répartition optimale des actifs. Il leur permet de prendre des décisions stratégiques en connaissance de cause et de poser des bases solides pour leur avenir financier.

Pour les préretraités

Pour les préretraités, une calculatrice d’impôt et revenus de placement offre un soutien essentiel à la transition vers la retraite. Il les aide à estimer leurs revenus d’investissement et leurs impôts, ce qui leur permet de planifier plus efficacement leur budget et leurs dépenses. En comprenant les implications fiscales des différentes options d’investissement, les préretraités peuvent prendre des décisions éclairées pour améliorer l’efficacité fiscale.

Pour les retraités

Pour les retraités, l’utilisation d’un calculatrice d’impôt et revenus de placement fournit des informations précieuses pour la planification financière. Il offre une image claire de l’impact des revenus d’investissement et des impôts sur le revenu de retraite global, aidant les retraités à estimer leurs revenus d’investissement et leurs impôts avec plus de précision.

Que faut-il en retenir ?

Un calculateur d’impôts et de revenus d’investissement est un outil pratique pour toute personne qui perçoit des revenus de ses investissements. Il offre un moyen transparent et prévisible de déterminer le montant de l’impôt à payer et le montant à conserver. L’utilisation de cet outil peut vous donner des indications précieuses sur votre situation financière et vous aider à prendre des décisions concernant vos objectifs d’épargne et vos stratégies d’investissement.

L’achat de votre première maison peut être plus proche que vous ne le pensez: Un coup d’œil sur le nouveau compte d’épargne libre d’impôt pour l’achat d’une première propriété (CELIAPP)

Les Canadiens admissibles peuvent cotiser jusqu’à 8 000 $ par année à un CELIAPP, jusqu’à un plafond de cotisation à vie de 40 000 $, pour les aider à acheter leur première propriété.

L’achat d’une maison est une décision importante qui nécessite une planification financière minutieuse. Heureusement, il existe un outil spécialisé conçu pour aider les Canadiens à épargner à l’abri de l’impôt en vue de leur objectif d’achat d’une première maison : le nouveau compte d’épargne libre d’impôt pour l’achat d’une première propriété (CELIAPP).

Le CELIAPP change la donne pour les aspirants propriétaires. Ce type unique de compte d’épargne permet aux Canadiens admissibles de cotiser jusqu’à 8 000 $ par année, avec un plafond de cotisation à vie de 40 000 $ pour l’achat de leur première propriété. Cela peut vous aider à décomposer le coût d’achat de votre première maison en objectifs d’épargne réalistes.

Une fois les fonds déposés dans le CELIAPP, vous pouvez les voir fructifier à l’abri de l’impôt. Cela signifie que tout intérêt gagné ou les gains de placement réalisés dans le compte sont également exonérés d’impôt, ce qui permet pour une capitalisation potentielle et des rendements plus élevés. Plus important encore, tous retrait admissible est libres d’impôt. Vous avez également la possibilité de transférer les fonds détenus dans votre REER dans le CELIAPP.

Pour ajouter à son attrait, les cotisations versées au CELIAPP sont déductibles d’impôt, ce qui signifie que vous pouvez les déduire dans votre déclaration de revenus afin de réduire votre revenu imposable et d’économiser plus d’argent en impôts. En ce sens, le CELIAPP s’apparente à un REER.

Pour être admissible à l’ouverture d’un CELIAPP, vous devez répondre à certains critères établis par le gouvernement. Ces exigences d’admissibilité visent à faire en sorte que le CELIAPP soit accessible aux personnes qui en ont vraiment besoin et qui s’engagent à acheter leur première propriété.

Une fois que vous êtes prêt à acheter votre première propriété et que vous avez une entente écrite pour l’acheter ou la construire, vous pouvez utiliser les fonds du CELIAPP pour l’achat d’une propriété admissible, ce qui peut inclure une mise de fonds, des frais de clôture et d’autres dépenses connexes liées à l’achat d’une première propriété.

Vous pouvez même utiliser un CELIAPP en conjonction avec le Régime d’accession à la propriété (RAP) pour disposer d’un montant encore plus élevé pour l’achat de votre première propriété. Il est important de noter, cependant, que les fonds dans un CELIAPP ne peut être retiré que dans le but d’acheter votre première propriété, mais que vous n’aurez pas à le rembourser comme vous le faites avec le RAP.

Si vous êtes déjà propriétaire d’une maison, vous ne pouvez malheureusement pas utiliser les fonds pour une résidence secondaire ou une propriété d’investissement. Vous pourriez également encourir des pénalités et des conséquences fiscales si vous retirez des fonds d’un CELIAPP à des fins non admissibles.

Toutefois, si vous décidez de renoncer à l’achat de votre première maison et d’utiliser vos fonds pour autre chose, vous pouvez toujours transférer les fonds du CELIAPP à votre REER ou FERR sur une base non imposable jusqu’au 31 décembre de l’année suivant l’année de votre premier retrait admissible, sans que cela n’affecte vos droits de cotisation au REER.

À compter du 20 novembre 2023, Rothenberg Gestion de Patrimoine va commencer a offrir à ses clients la possibilité d’ouvrir un CELIAPP.

Communiqués avec un Conseiller en Gestion de Patrimoine Rothenberg pour discuter de vos objectifs et obtenir des conseils sur la façon de personnaliser votre portefeuille de placements dans votre CELIAPP afin de maximiser votre épargne. Si vous n’êtes pas admissible (ou si vous n’êtes pas certain d’y être admissible), un conseiller Rothenberg peut évaluer votre situation et vous aider à comprendre d’autres options d’épargne pour atteindre vos objectifs financiers.

Signes révélateurs de l’hameçonnage par courriel

Découvrez les signes à surveiller dans les escroqueries par hameçonnage par e-mail afin de protéger vos informations financières et personnelles confidentielles.

Les courriels d’hameçonnage sont une tactique régulièrement utilisée par les cybercriminels pour voler vos informations personnelles, telles que vos informations d’identification bancaire en ligne.

Les signaux d’alarme sont parfois faciles à repérer et vous alertent rapidement sur le fait que vous êtes victime d’une tentative de hameçonnage. Dans d’autres cas, le hameçonnage est plus difficile à détecter.

Les cybercriminels étant de plus en plus créatifs dans leurs tentatives de voler les informations personnelles des utilisateurs par courrier électronique, la sensibilisation et la compréhension des points à surveiller deviennent la meilleure défense contre les cybercriminels et leurs manigances.

Mais d’abord, qu’est-ce que le hameçonnage par courriel?

Dans cette forme d’arnaque en ligne, les cybercriminels se font passer pour une personne que vous connaissez ou pour une organisation légitime, comme l’ARC ou votre institution bancaire.

En général, les courriels d’hameçonnage contiennent un appel urgent à l’action et un lien qui, une fois cliqué, vous dirigera vers un site Web pour confirmer vos données personnelles, vos informations de compte, etc. Ces liens qui mènent à de faux sites web sont conçus pour voler vos informations personnelles ou infecter votre appareil avec des maliciel.

Les courriels d’hameçonnage peuvent également contenir des pièces jointes inattendues ou douteuses qui, une fois téléchargées, peuvent infecter votre ordinateur avec un virus, ce qui compromet la sécurité de votre ordinateur.

Comment savoir si un courriel est une arnaque d’hameçonnage?

De nombreuses tentatives d’hameçonnage par courriel terminent leur parcours dans votre dossier de pourriel, mais les filtres anti-spam ne suffisent pas à empêcher les escroqueries par hameçonnage d’arriver dans votre boîte de réception.

Voici quelques signes indicatifs d’un hameçonnage par courriel :

  • Expéditeur inconnu ou destinataires de courriel que vous ne reconnaissez pas.
  • Nom et/ou adresse courriel de l’expéditeur mal orthographiés ou incorrects.
  • Le nom de l’expéditeur et l’adresse courriel ne correspondent pas (par exemple, le courriel provient de « Microsoft » mais l’adresse électronique de l’expéditeur utilise un domaine Google comme example@gmail.com).
  • Salutation généralisée ou manquante (par exemple : « Cher contribuable canadien »)
  • Fautes et autres erreurs d’orthographe et de grammaire dans le titre et le contenu du courriel.
  • Le ton ne correspond pas à celui de l’expéditeur.
  • Le langage utilisé est urgent ou menaçant et il est fait mention d’une échéance imminente (par exemple : « cette pièce jointe expirera dans 24 heures », « vous avez une facture impayée », vous devez « vérifier » des informations personnelles »)
  • Demande bizarre, inhabituelle ou non sollicitée ou le contenu n’a tout simplement pas de sens et affirme quelque chose de ridicule.
  • Vous n’avez pas souscrit ou approuvé à recevoir la communication électronique de l’expéditeur.
  • Mise en page bizarre et images de mauvaise qualité.
  • Le lien dans le courriel ne correspond pas à l’URL lorsque vous passer le pointeur de votre souris dessus pour plus d’informations.
  • La pièce jointe incluse a un nom ou une extension de fichier étrange.
  • Le courriel est passé directement dans votre dossier de pourriel.

Il faut souligner que cette liste n’est en aucun cas une liste complète de tous les signes révélateurs des courriels d’hameçonnage. Certaines courriels d’hameçonnage peuvent être tellement sophistiqués qu’ils ne contiennent qu’un ou plusieurs des signes mentionnés ci-dessus.

Soyez proactif, pas réactif!

Les cybercriminels sont toujours à la recherche de moyens innovants et plus sophistiqués d’usurpation d’identité et mènent leurs victimes à divulguer leurs informations financières.

Lorsque vous évaluez si un courriel est une tentative d’hameçonnage, vous pouvez vous poser les questions suivantes:

  • Est-ce que je reconnais le nom de l’expéditeur et l’adresse électronique « De »?
  • La ligne d’objet/titre ou le contenu du courriel comporte-t-il des fautes d’orthographe ou de grammaire?
  • L’adresse électronique de l’expéditeur correspond-elle au nom figurant dans le champ « De »?
  • Est-ce que je reconnais les destinataires inclus dans le courriel?
  • Le courriel comporte-t-il un appel à l’action, par exemple cliquer sur un lien ou télécharger une pièce jointe?
  • Le courriel me demande-t-il des informations personnelles, telles que mon numéro d’assurance sociale ou informations d’accès de mon compte bancaire?
  • Me suis-je inscrit pour recevoir cette communication de cet expéditeur?
  • La mise en page ou la qualité de l’image sont-elles plutôt étranges?

En règle générale, méfiez-vous de tous les liens et pièces jointes et réfléchissez avant de cliquer.

Si vous recevez un courriel suspect d’une personne prétendant être une entreprise, un ami ou une connaissance de bonne réputation, il est toujours préférable de contacter immédiatement l’organisation ou la personne en question pour confirmer la légitimité du courriel avant de poursuivre.

Il faut garder en tête que ce n’est pas parce que vous recevez un courriel de hameçonnage que vos informations personnelles ont été compromises. Les escroqueries par hameçonnage ne réussissent que lorsque leurs cibles cliquent sur des liens malveillants ou téléchargent des pièces jointes dangereuses.

Des stratégies judicieuses pour gérer les coûts liés à l’université pour les familles ayant plusieurs enfants

Entre les frais de scolarité et les autres dépenses connexes, les études postsecondaires, surtout en cette période de haute inflation, peuvent représenter un fardeau financier important pour les familles ayant plusieurs enfants. Quelles sont les stratégies judicieuses pour gérer ces coûts? Nos experts suggèrent quelques options.

L’augmentation du coût des études postsecondaires, à une époque où l’inflation monte en flèche et où d’autres aspects de la vie deviennent plus coûteux, peut vous inciter à vous poser la question à savoir  comment vous pourrez offrir cette possibilité à vos enfants. Les frais de scolarité, associés à d’autres dépenses liées à l’université, comme les bouquins de cours, les appareils électroniques et le logement, peuvent représenter un lourd fardeau financier pour les familles, surtout celles qui ont plusieurs enfants.

Vous pouvez considérer que les coûts des études postsecondaires de votre enfant sont nécessaires, mais aussi qu’ils sont assez élevés. La bonne nouvelle, c’est que vous n’avez pas à payer la facture d’un seul coup et qu’il y a certaines choses que vous pouvez faire en tant que parent pour gérer et finalement réduire ces dépenses lorsque vous avez plusieurs enfants. Il y a même certaines choses que vous pouvez encourager votre enfant à faire pendant qu’il poursuit ses études universitaires afin de gérer ses dépenses scolaires.

1. Considérez l’ouverture d’un régime REEE familial.

De nombreuses familles choisissent d’ouvrir un compte REEE par enfant, mais la gestion de plusieurs comptes peut être difficile. C’est pourquoi un REEE familial est une option idéale pour les familles ayant plusieurs enfants. Même si vous investissez dans un seul compte, les cotisations au REEE sont liées au NAS de votre enfant, de sorte que votre institution financière soit en mesure de savoir quel enfant reçoit la cotisation. Par conséquent, les revenus de placement peuvent être partagés entre vos enfants. Vous avez également la possibilité d’attribuer des fonds à d’autres bénéficiaires admissibles si l’un d’eux ne poursuit pas d’études supérieures ou si le coût des études diffère entre eux.

2. Profitez de la Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE).

Le programme de la SCEE, qui est accessible à tous, constitue un excellent incitatif pour les familles à commencer à épargner pour les études de leurs enfants dès que possible. Cette subvention correspond à 20 % de la première tranche de 2 500 $ cotisée chaque année au REEE d’un enfant admissible de moins de 18 ans, jusqu’à un maximum annuel de 500 $ et un maximum à vie de 7 200 $. Si vous cotisez annuellement à partir de la naissance de votre enfant, la subvention atteindra son maximum en 14 ans. Les résidents du Québec peuvent bénéficier d’un incitatif supplémentaire sous la forme d’une subvention additionnelle de 10 % appelée Incitatif québécois à l’épargne-études (IQEE). Bien que beaucoup croient au dicton populaire « Que rien n’est jamais gratuit dans la vie « , le gouvernement canadien vous donne essentiellement de « l’argent gratuit » à investir dans l’éducation de votre enfant. Vous pouvez en savoir plus sur la SCEE ici et sur l’IQEE ici.

3. Cosignez la demande de votre enfant pour une marge de crédit pour étudiants.

Une marge de crédit pour étudiants est une option de financement souple qui aide les étudiants à payer les dépenses liées aux études postsecondaires, comme les frais de scolarité ou les livres, et qui peut également servir à financer les dépenses courantes, comme la nourriture et le transport. Tout comme une carte de crédit, l’argent emprunté doit être remboursé avec des intérêts. Toutefois, les taux d’intérêt d’une marge de crédit pour étudiants sont généralement plus favorables que ceux d’une carte de crédit ordinaire et les intérêts facturés ne portent que sur l’argent emprunté. Souvent, une institution financière exigera un cosignataire qui sera responsable de la dette si l’étudiant est incapable de payer. C’est là que vous, en tant que parent, pouvez intervenir. Le fait de cosigner la marge de crédit pour étudiants de votre enfant peut être un bon moyen de l’aider à établir son crédit, comme exemple. Vous trouverez plus de renseignements sur les marges de crédit pour étudiants sur le site Web du gouvernement du Canada ici.

4. Découvrez d’autres moyens de payer les études postsecondaires de votre enfant.

Les régimes d’épargne comme le REEE risquent de ne pas suffire à couvrir les coûts des études universitaires de votre enfant; vous pouvez donc envisager une aide financière. L’aide financière peut prendre la forme de la SCEE mentionnée ci-dessus, de prêts étudiants, de bourses d’études, de subventions et de bourses d’entretien, qui fournissent une aide aux frais de scolarité qui n’a pas besoin d’être remboursée. Une notion erronée est que vous devez avoir un faible revenu pour bénéficier de l’une de ces options, mais ce n’est tout simplement pas le cas. Les bourses d’études, par exemple, peuvent récompenser les performances scolaires sans égard du niveau de revenu.

5. Donnez à vos enfants une introduction aux bonnes habitudes financières.

En plus des stratégies ci-dessus, l’éducation financière et la connaissance de l’argent aident grandement à gérer les dépenses importantes comme les études postsecondaires. Vous avez peut-être réussi à inculquer de bonnes habitudes financières à vos enfants au cours de leur enfance, mais il est toujours bon de revoir les principes de base pour les leur rappeler. Si les frais de scolarité ont tendance à être prévisibles, de nombreuses autres dépenses liées à l’université sont des coûts variables et il existe généralement des moyens de réduire ces coûts. Par exemple, pour la nourriture, vous pouvez encourager votre enfant à prendre un plan de repas à l’université ou à cuisiner à la maison plutôt que de commander du restaurant, car cela peut être assez coûteux. Bien entendu, il existe de nombreuses autres façons de réduire les coûts et d’économiser de l’argent, que vous devriez éduquer à vos enfants, par exemple être attentifs aux escomptes accordés aux étudiants, en évitant les guichets automatiques hors réseau et en utilisant une carte de crédit de la manière la plus efficace possible. Ces habitudes financières s’accumulent au fil du temps et peuvent faire une différence remarquable.

Des conseillers comme nous ne cessent de servir leurs clients dans la poursuite de leurs objectifs financiers. Au fil des ans, nous avons aidé de nombreuses familles à choisir des investissements appropriés pour réaliser des économies en vue de l’éducation de leurs enfants. Pour plus d’informations sur la façon dont nous pouvons vous aider, envoyez-nous un courriel à inforequest@rothenbergwstg.wpenginepowered.com.

Les effets de l’inflation sur vos plans et votre épargne-retraite

Avec une inflation à son plus haut niveau depuis près de 40 ans, vous vous inquiétez peut-être de ce que cela signifie pour votre retraite. Dans cet article, nous passons en revue certaines choses auxquelles vous pouvez vous attendre, que vous soyez en train de planifier votre retraite ou que vous soyez déjà à la retraite.

Récemment, vous avez peut-être remarqué une augmentation importante pour certaines dépenses, comme l’épicerie, le loyer et les factures de gaz. Ce phénomène s’appelle l’inflation. L’inflation se produit généralement lorsque les entreprises transfèrent l’augmentation de leurs coûts sur vous, le client. Mais l’inflation n’a pas seulement un impact sur vos habitudes de consommation. Elle a aussi une influence sur votre capacité d’épargner pour les grands objectifs de la vie, et vos meilleures années comme il se doit.

J’épargne pour ma retraite. Comment l’inflation m’affecte-t-elle ?

Comme vos dépenses augmentent avec l’inflation, vos priorités financières vont très probablement changer, et l’épargne-retraite risque de passer au second plan. Il vous sera peut-être même difficile de mettre régulièrement des fonds de côté, sachant que vous devez d’abord payer des choses comme la nourriture et l’essence. En cas extrême, vous devrez peut-être même piger dans votre épargne pour compenser vos dépenses excédentaires. Lorsque votre revenu demeure inchangé, mais que le coût de la vie ne cesse d’augmenter, c’est certainement une possibilité.

Il peut arriver que votre première intuition soit de réduire ou de cesser complètement de cotiser régulièrement à vos comptes de retraite jusqu’à ce que la situation se calme et que les prix reviennent à un niveau plus ou moins normal. Cependant, vous devez éviter de succomber à cette idée. Car même si vous considérez seulement réduire ou cesser vos contributions pour une courte période, cela peut avoir des effets drastiques sur votre pécule.

La capitalisation des rendements des fonds que vous épargnez et investissez régulièrement pour votre retraite permettra à votre épargne d’augmenter plus rapidement au fil du temps. Imaginez la grosseur d’une boule de neige qui augmente au fur et à mesure qu’elle descend une pente et prend de l’élan. Les rendements composés fonctionnent de la même manière.

En continuant à verser des cotisations régulières sur vos comptes de retraite, vous vous assurez de profiter pleinement de la puissance des rendements composés. Par contre, lorsque vous réduisez ou cessez de cotiser à votre épargne-retraite, cela peut se traduire par des milliers de dollars de moins en épargne-retraite à long terme.

Prenons l’exemple suivant. Disons que Bob commence avec 2 000 $ dans son REER et qu’il investit 2 000 $ de plus par année en vue de sa retraite. Supposons un rendement de 7 % par an pour simplifier les choses. Après 30 ans, le REER de Bob vaudra 202 146 $. Si Bob décide de cesser de cotiser à son REER les sixième et septième années en raison de l’inflation, il se retrouvera avec 181 146 $, soit une différence de 21 000 $ à la fin de la 30e année.

Bien que nous ne recommandions pas la réduction de vos dépenses de première nécessité, comme la nourriture, si vous craignez de devoir réduire le montant ou la fréquence de vos cotisations, vous pouvez libérer des fonds en éliminant les dépenses non essentielles, comme les sorties au restaurant ou les services d’abonnement.

Dans tous les cas, les coupes budgétaires ont leurs limites. Vous devez donc absolument discuter de cette question avec votre conseiller en gestion de patrimoine. Il pourra vous guider dans le processus d’ajustement de votre stratégie de planification de la retraite et de votre portefeuille d’investissement de manière à avoir le moins d’impact possible sur votre qualité de vie actuelle et d’obtenir le meilleur résultat possible pour votre retraite.

Je suis déjà à la retraite. Que signifie l’inflation pour moi?

Après avoir consacré tant de temps et d’efforts dans la préparation et l’épargne pour votre retraite, la question se pose sans doute de savoir si vous avez épargné suffisamment, si votre argent durera assez longtemps et si vous devrez ajuster quelques-uns de vos plans très attendus en raison de l’inflation. La réponse dépend sur quelques facteurs. Parmi eux, votre flux financier personnel, vos dépenses et votre volonté de faire des concessions si nécessaire.

Comme vous n’êtes plus actif sur le marché du travail en tant que retraité, vos revenus ont tendance à être plus prévisibles et vos dépenses sont également plus stables. Votre épargne personnelle et votre portefeuille d’investissements sont très probablement votre source principale de liquidités pendant cette période de votre vie. Vous pouvez également compter sur les pensions gouvernementales, comme le RPC, la Sécurité de la vieillesse (SV) et le SRG, pour votre revenu de retraite.

Bien que vos économies personnelles et vos placements courants seront probablement les plus touchés par la hausse de l’inflation, à mesure que votre pouvoir d’achat diminuera et que les marchés réagiront, les prestations de retraite fédérales que vous recevez subiront moins d’effets négatifs.

Les programmes financés par le gouvernement, comme le RPC, la SV et le SRG, sont indexés à l’inflation, ce qui signifie qu’ils sont rajustés en fonction de l’inflation, à l’aide de différentes formules. Ainsi, vous recevrez probablement une augmentation des montants versés, car le gouvernement tente de tenir compte de l’augmentation rapide du coût de la vie.

Il est toutefois important de noter que si le taux d’inflation surpasse le taux d’ajustement, l’ajustement ne sera pas suffisant pour compenser la différence entre les deux. Il se peut qu’après avoir réglé vos dépenses de base comme le loyer, les services publics et l’épicerie, il vous reste moins d’argent pour les activités les plus excitantes de votre liste de choses à faire avant le décès. Il s’agit alors de trouver un équilibre entre la poursuite de votre retraite comme prévu et les concessions à faire, surtout lorsque vos dépenses dépassent vos revenus. Cela peut être le cas si vous avez des objectifs ou des passe-temps auxquels vous êtes déterminé à ne pas renoncer.

Si vous êtes en bonne santé, les voyages sont probablement l’un des premiers points de votre liste de souhaits pour la retraite. Vous avez sans doute économisé pour cet objectif ambitieux, car il peut être coûteux. Malheureusement, en période d’inflation, les voyages peuvent coûter plus cher que prévu.

Mais il existe aussi quelques avantages à l’inflation, comme la hausse des taux d’intérêt. Vous constaterez que les taux des rentes et des CPG, par exemple, peuvent augmenter en période d’inflation.

Un autre avantage se trouve dans l’immobilier. Pour ceux encore propriétaires de leur maison et qui cherchent le meilleur moment pour la vendre, les prix de l’immobilier ont tendance à augmenter en période d’inflation. Cela signifie que le moment le plus propice pour vendre votre maison peut être celui où l’inflation augmente.

Bien sûr, comme dans toute situation, il y a des pour et des contre et ils doivent être soigneusement évalués. Pour en tirer des conclusions, l’essentiel est le suivant : Si vos dépenses dépassent vos revenus, ce qui est tout à fait possible étant donné que le coût de la vie augmente avec l’inflation, vous serez peut-être obligé de choisir entre repousser votre retraite ou continuer comme prévu, mais en faisant quelques concessions.

Si vous êtes en phase de transition vers la retraite, il est possible que vous décidiez de travailler plus longtemps afin de générer un revenu plus important pour faire les choses dont vous aviez initialement prévues et faire face à la hausse des dépenses. Si vous êtes en retraite et que vous ne prévoyez pas de retourner sur le marché du travail, vous pouvez alors opter pour des produits de consommation courante moins coûteux afin de compenser les coûts de l’inflation.

On peut comprendre que vous soyez inquiet des conséquences de l’inflation sur votre liberté et votre flexibilité à la retraite. Les stratégies visant à minimiser les effets de l’inflation sur votre épargne et vos plans de retraite diffèrent selon chaque personne, en fonction de votre situation unique. Il est toujours préférable de contacter votre conseiller en gestion de patrimoine si vous êtes le moindrement soucieux de l’impact de l’inflation sur votre retraite.

Bien que cet article ait été soigneusement vérifié, nous ne pouvons pas et ne garantissons pas que les informations fournies sont correctes, exactes ou à jour. Veuillez vous adresser à votre conseiller de gestion de patrimoine Rothenberg obtenir des conseils en fonction de votre situation particulière.

Six manières d’utiliser votre remboursement d’impôt

Faites-vous partie des millions de Canadiens qui devraient bénéficier d’un remboursement d’impôt cette année? Si tel est le cas, voici quelques idées qui vous aideront à bien utiliser ces fonds.

En préparant votre déclaration de revenu, vous constatez avec plaisir que vous avez droit à un remboursement, ce qui vaut mieux que de devoir de l’argent au gouvernement. Si vous bénéficiez d’un remboursement d’impôt, voici six idées dont vous pourriez tenir compte pour utiliser cet argent.

1. Le dépenser

En général, l’idée de se servir de ce remboursement pour se faire plaisir figure, au mieux, en bas de la liste. Toutefois, si ce remboursement est relativement modique, faites-vous plaisir en allant par exemple au restaurant pour faire un bon repas. Même si vous bénéficiez d’un remboursement plus important, il n’est pas interdit d’en utiliser un pourcentage pour vous faire plaisir.

2. Cotiser à votre REER

Vous pourriez envisager de cotiser à votre REER pour garnir votre fonds de retraite. Si vous détenez un REER, vous pourriez vous prévaloir du report des cotisations des années précédentes au cours desquelles vous n’aviez pas atteint le plafond de cotisations. En versant la totalité ou une partie de ce remboursement dans votre REER, vous pourriez ainsi utiliser une partie ou la totalité des droits inutilisés de cotisation et ainsi progresser davantage vers la réalisation de vos objectifs d’épargne retraite.

Vous pourriez également bénéficier éventuellement d’un allègement fiscal pour l’année 2022‑2023 puisque ces cotisations sont effectuées avant impôt et que les fonds ne sont imposés qu’au moment de leur retrait du régime.

Si votre situation l’autorise, vous pourriez également envisager de cotiser à un REER de conjoint. Il s’agit d’une stratégie de fractionnement du revenu des couples qui peut contribuer à réduire le fardeau fiscal.

3. Cotiser à un CELI

Il existe également une autre option que vous pourriez envisager, à savoir placer l’argent de votre remboursement d’impôt dans un CELI en prévision d’un achat important.

Les cotisations versées dans un CELI ne permettent pas de bénéficier de déductions d’impôt immédiates. Toutefois, l’argent du remboursement peut être investi dans des placements générant un revenu dont la croissance se fera en franchise d’impôt dans le compte. Cette décision est avantageuse parce qu’elle vous permet d’économiser pour réaliser un objectif majeur, par exemple acheter une première maison ou profiter de longues vacances, sachant que les retraits de fonds ne sont pas imposables.

Vous pourriez ainsi bénéficier d’un atout dans le cadre de la planification fiscale de votre retraite. Vous profitez également d’un moyen de diversifier l’imposition des sources de vos revenus de retraite si vous détenez également un REER et que vous avez déjà utilisé tous vos droits de cotisation à ce régime.

4. Investir par l’intermédiaire d’un compte imposable

Les avantages fiscaux offerts par un REER ou un CELI sont extrêmement tentants. Toutefois, les placements dans un compte de courtage imposable ne sont pas à dédaigner. En effet, les gains en capital bénéficient d’un taux d’imposition favorable; c’est pourquoi il peut être judicieux de détenir des placements qui pourraient générer des gains de capital importants dans ces comptes, tout en détenant des placements générant un revenu dans un REER ou un CELI.

Les dividendes versés par des actions détenues dans un compte de courtage imposable sont imposés à un taux préférentiel par rapport à ceux provenant d’autres sources de revenu. En effet, la société a déjà payé des impôts sur les dividendes et le gouvernement n’impose pas une deuxième fois ce revenu.

Il faut également se souvenir que les fonds détenus dans un compte imposable, par exemple un REER, peuvent être plus facilement accessibles au fil du temps comparativement aux fonds détenus dans un compte exonéré d’impôt car ils ne sont pas assujettis aux mêmes règles.

5. Rembourser vos dettes

Si vous avez des dettes en suspens, par exemple des versements d’intérêts élevés sur des cartes de crédit, un prêt personnel ou un prêt hypothécaire, vous pourriez envisager d’affecter une partie ou la totalité du remboursement d’impôt à la réduction de cette dette. Vous pourriez ainsi éliminer ou du moins réduire le montant total des versements consacrés à cette dette et économiser ainsi au fil du temps le coût de l’intérêt composé.

Dans le cas d’un prêt hypothécaire, si le remboursement est important, vous pourriez également envisager de faire un gros versement pour réduire ou éliminer complètement cette dette.

À l’heure actuelle, le gouvernement du Canada a suspendu jusqu’au 31 mars 2023 l’accumulation des intérêts sur les prêts aux étudiants. La période actuelle est donc particulièrement propice au remboursement d’une partie ou de la totalité de cette dette en utilisant le remboursement d’impôt. Outre la diminution de la dette, le fait d’effectuer un versement en ce moment pourrait contribuer à éliminer des frais d’intérêt supplémentaires au moment où la situation reviendra à la normale et que la suspension sera levée.

6. Cotiser à un fonds de secours

L’argent du remboursement peut servir à mettre en route ou à augmenter un fonds de secours existant. Cet argent est habituellement placé dans un compte liquide portant intérêt, disponible en cas d’urgence, par exemple une perte d’emploi ou des réparations importantes et inattendues exigées par votre voiture ou votre habitation.

Selon une règle de base, il faut disposer dans ce fonds d’un montant équivalant aux dépenses obligatoires et nécessaires pour une durée de six mois. Il faut y inclure l’argent destiné à des paiements tels que le loyer ou les remboursements hypothécaires, la nourriture, le prêt-auto et les autres dépenses essentielles au maintien de votre style de vie habituel. Il pourrait également prévoir des dépenses supplémentaires comme les divertissements, les repas à l’extérieur ou d’autres dépenses discrétionnaires sachant qu’il faut établir la priorité de vos besoins et de ceux des personnes à charge.

Analyser vos retenues à la source

Cette démarche ne vise pas les fonds provenant d’un remboursement d’impôt, mais elle donne l’occasion d’analyser les retenues d’impôt de l’année en cours pour savoir si elles tiennent parfaitement compte de votre situation. Est-ce que votre niveau de revenu a changé? Si tel est le cas, la retenue d’impôt est-elle suffisante?

Par retenue d’impôt on entend le montant d’impôt sur le revenu déduit par votre employeur de votre chèque de paie qui, habituellement, ne tient pas compte des diverses déductions classiques, par exemple les cotisations à un REER qui réduisent l’impôt exigible. Si vous recevez un remboursement important chaque année, vous pourriez envisager de réduire vos retenues d’impôt de façon à augmenter le montant figurant sur votre chèque de paie.

Que retenir… Établir une liste des priorités qui vous tiennent à cœur

Toucher un remboursement important peut s’apparenter à de l’épargne forcée bien que vous ne touchiez aucun intérêt sur cet argent. Vous pourriez mieux l’utiliser pendant l’année en l’investissant quoique tout cela dépende de vos besoins et de votre situation actuelle.

Téléphonez-nous au 514-934-0586 (Montréal) ou au 403-228-2378 (Calgary) pour établir le meilleur moyen d’utiliser votre remboursement d’impôt et examiner vos retenues d’impôt pour être certain qu’ils conviennent parfaitement à votre situation.

Cet article a fait l’objet d’une vérification soigneuse, mais nous ne pouvons garantir que les renseignements fournis sont exacts ou à jour. Veuillez consulter votre conseiller en gestion de patrimoine chez Rothenberg pour obtenir des conseils fondés sur des paramètres qui vous sont propres. Rothenberg Gestion de capitaux est membre de l’OCRCVM et du Fonds canadien de protection des épargnants.

Prêt hypothécaire inversé : Le pour, le contre et la conclusion

Les baby-boomers canadiens arrivés à l’âge de la retraite ont profité d’un marché immobilier dynamique au cours des deux dernières décennies; ils pourraient avoir intérêt à se servir de la valeur nette de leur habitation pour générer un revenu de retraite.

Les options de financement de la retraite sont diverses. Typiquement, les principales sources de revenu de retraite sont les pensions et l’épargne financière représentées en général par des régimes enregistrés d’épargne-retraite (REER), des comptes d’épargne libres d’impôt (CELI) et des comptes d’épargne non enregistrés.

Les retraités peuvent également envisager l’utilisation de la valeur nette de leur habitation. Le prêt hypothécaire inversé est l’une des méthodes permettant d’avoir accès à cette valeur nette. Il s’agit en effet d’un prêt permettant de profiter de la valeur nette de l’habitation sans devoir se départir de cette dernière. On peut en effet emprunter à concurrence de 55 % de la valeur nette de son habitation compte tenu de divers facteurs, notamment de son âge et de celui de son conjoint (les deux intéressés doivent avoir au moins 55 ans) ainsi que de la valeur du moment de l’habitation. Toutefois, le montant des prêts hypothécaires inversés est généralement de loin inférieur à ce pourcentage.

Un prêt hypothécaire inversé peut être structuré de façon à prévoir des versements périodiques au propriétaire ou peut faire l’objet d’un versement forfaitaire. Dans les deux cas, il n’y a aucun remboursement exigé à moins que le propriétaire ne déménage, décède ou vende l’habitation.

Les prêts hypothécaires inversés ont divers avantage et inconvénients. 

Divers avantages :

  1. La valeur de votre patrimoine peut être liée à celle de votre habitation, notamment si celle-ci a augmenté au fil des ans. Un prêt hypothécaire inversé vous permet de profiter de la valeur nette de votre habitation sans être obligé de la vendre. En outre, étant donné que vous restez propriétaire de celle-ci, vous ne serez jamais forcé de déménager ou de la vendre. Même si la valeur de l’habitation devient inférieure au solde du prêt hypothécaire inversé, vous pouvez continuer à occuper les lieux pour le restant de votre vie.
  2. Vous avez accès à la valeur nette de votre habitation sans avoir à effectuer les remboursements mensuels exigés par un prêt type, par exemple une marge de crédit sur valeur domiciliaire ou un refinancement. En fait, aucun versement n’est exigé sauf en cas de déménagement ou de vente de l’habitation, qui sont des décisions entièrement de votre ressort. Les versements sont donc volontaires et, par conséquent, il n’y a aucun risque de défaut de remboursement.
  3. Vous pouvez choisir la manière dont vous touchez votre argent, soit sous forme de montant forfaitaire ou de versements réguliers. Vous pouvez dépenser l’argent que vous recevez sans condition ni exigence. Vous décidez de l’utilisation du prêt hypothécaire inversé qui peut aussi bien servir à rembourser un prêt hypothécaire existant qu’à rénover votre habitation ou à venir en aide à votre famille.
  4. Le revenu est considéré techniquement comme un prêt et non comme un revenu; il donc est exonéré d’impôt. En outre, tout versement provenant d’un prêt hypothécaire inversé n’est pas pris en compte lorsqu’on établit l’admissibilité au versement des prestations de la Sécurité de la vieillesse (SV), du Supplément de revenu garanti (SRG) ou du Régime de pensions du Canada (RPC); en outre, les montants perçus n’ont aucune incidence sur les prestations que vous pourriez recevoir.
  5. Contrairement à d’autres types de prêts, l’octroi d’un prêt hypothécaire inversé ne tient pas compte du revenu et des cotes de crédit de l’intéressé. Toutefois, compte tenu des règlements régissant les prêts hypothécaires au Canada, vous pourriez être obligé de communiquer de telles informations.
  6. Vous ne pouvez jamais être redevable d’un montant supérieur à la valeur de votre habitation. Si la valeur de cette dernière baisse, le prêteur hypothécaire absorbe la perte.

Le revers de la médaille…divers inconvénients :

  1. L’un des principaux inconvénients des prêts hypothécaires inversés est leur taux d’intérêt sensiblement plus élevé. En fait, les taux d’intérêt des prêts hypothécaires inversés sont généralement de loin supérieurs aux taux exigés pour des produits de crédit semblables, par exemple des prêts hypothécaires traditionnels ou une marge de crédit sur valeur domiciliaire. Par exemple, en ce moment, le plus important fournisseur de prêts hypothécaires impose un taux de 5,49 % aux prêts hypothécaires inversés à cinq ans. En revanche, les principales banques canadiennes accordent un taux de 2,65 % (en avril 2020) aux prêts hypothécaires ordinaires. La différence en points de pourcentage fera baisser considérablement la valeur nette de l’habitation, compte tenu notamment de l’incidence de l’intérêt composé si aucun versement n’est effectué avant la vente (à l’instar de la plupart des prêts hypothécaires au Canada, l’intérêt composé est calculé semestriellement). Il faut donc impérativement comparer les diverses solutions offertes.
  2. La valeur nette de votre habitation peut diminuer si les intérêts de votre prêt s’accumulent. On peut dire que plus le taux d’intérêt est élevé, plus les versements au fournisseur du prêt hypothécaire inversé sont conséquents alors que votre valeur nette risque d’avoir baissé une fois le remboursement terminé. Dans une conjoncture marquée par une hausse des taux d’intérêt, il arrive souvent que les montants d’intérêts accumulés réduisent à un tel point la valeur nette de l’habitation que vous risquez de vous retrouver sans argent.
  3. Si vous avez un prêt hypothécaire ou une marge de crédit hypothécaire en cours, les fonds en provenance d’un prêt hypothécaire inversé doivent servir en priorité à rembourser le prêt hypothécaire garanti par votre habitation. C’est pourquoi vous ne pouvez utiliser l’argent reçu selon votre bon vouloir.
  4. Il se pourrait qu’il vous soit impossible d’occuper votre habitation pendant votre retraite si vous rencontrez trop de difficultés, par exemple à monter à l’étage, à entretenir les lieux, à enlever la neige ou à tondre la pelouse. Vous pourriez donc décider de déménager et de vendre l’habitation. Il faut savoir qu’à ce moment, vous devrez rembourser la totalité du prêt hypothécaire inversé. Étant donné que vous pourriez ne pas disposer des fonds suffisants pour cette opération, il est essentiel de prévoir d’avance une telle éventualité.
  5. Si le prêt hypothécaire inversé a fait baisser considérablement la valeur nette de votre habitation, il se pourrait que vous ne disposiez pas des fonds nécessaires pour assurer la prestation ultérieure de soins de longue durée.
  6. Un prêt hypothécaire inversé réduit la taille de votre patrimoine et, par conséquent, réduit l’héritage légué à votre famille. Il est donc impératif d’évaluer l’incidence d’un prêt hypothécaire inversé sur votre succession.

Certains retraités souhaitent peut-être continuer à occuper leur habitation pour des raisons personnelles ou sentimentales. S’ils ne disposent d’aucune autre option financière pour ce faire, le prêt hypothécaire inversé est la seule avenue qui s’offre à eux. Toutefois, à l’instar de tout produit financier, il faut tenir compte de nombreux facteurs car il n’existe aucune solution miracle. Les prêts hypothécaires inversés répondent sans conteste à un besoin du marché, mais ne conviennent pas à tous les retraités. Il faut donc obtenir l’avis d’un spécialiste qui prendra en compte votre situation.

Nous vous signalons que nous n’offrons pas de prêts hypothécaires inversés. Toutefois, nous vous conseillons de nous téléphoner pour explorer diverses options comparables (514) 934‑‑0586 (Montréal) ou (403) 228-0949. Un conseiller en gestion de patrimoine de Rothenberg analysera votre situation pour savoir s’il existe d’autres choix répondant mieux à vos besoins.

Devrais-je faire gérer seul les impôts ou engager un professionnel de l’impôt ?

Les logiciels d’impôt en ligne sont avantageux en termes de budget et de temps, mais selon la complexité de votre situation, il peut être préférable de faire appel à un professionnel de l’impôt.

Le 30 avril 2021 est la date limite officielle pour produire votre déclaration de revenus pour l’année 2020 et payer les impôts dus à l’Agence du revenu du Canada (ARC).

Pour ceux qui se trouvent au Québec: Vous pouvez produire votre déclaration d’impôt provincial jusqu’au 30 mai 2021 et vous ne serez pas pénalisé.

La saison des impôts est arrivée, une fois de plus. Si vous êtes un vétéran de la déclaration de revenus, vous êtes probablement à l’aise pour remplir vous-même votre déclaration de revenus, sans aucune aide. Il y a de la satisfaction à le faire soi-même et, en fin de compte, vous pourriez même y prendre plaisir.Les Canadiens aiment toujours autant leurs remboursements d’impôts, mais avec un nombre croissant de personnes qui demandent des remboursements à cause d’erreurs coûteuses, vous vous demandez peut-être si vous devez vous débrouiller tout seul ou si le moment est venu de faire appel aux services d’un expert fiscal.Une erreur sur votre déclaration de revenus peut entraîner une pénalité, des frais d’intérêt ou même un contrôle par l’ARC (CRA en anglais). Mais le plus important, c’est que vous pouvez passer à côté de déductions ou de précieux crédits d’impôt.Continuez à lire pour savoir comment décider si un logiciel d’impôt fera l’affaire ou si vous avez besoin de l’aide d’un professionnel.Quand déclarer ses impôts soi-mêmePréparer votre déclaration d’impôts personnelle devrait être facile si votre situation financière est simple. Nous appellerons ces personnes des bricoleurs fiscaux, où DIY signifie « Do-It-Yourself » !TurboTax et d’autres logiciels de préparation des déclarations de revenus disponibles dans le commerce vous poseront une série de questions sur vos finances et vous indiqueront les crédits et déductions auxquels vous pouvez prétendre. Ils ne nécessitent de réaliser aucun calcul mathématique ni aucune connaissance approfondie du code des impôts.Mais comment déterminer si vous êtes dans une situation simple ?

  • Si la préparation de vos impôts ne vous oblige qu’à extraire des informations d’une poignée de documents préparés par d’autres, comme le T4, un logiciel d’impôt de base vous conviendra.
  • Si votre situation fiscale n’a pas changé au cours de l’année dernière, que vous travaillez pour un employeur, que vous êtes célibataire sans enfant, etc., votre déclaration d’impôt sera très simple.
  • Si rien ne se passe dans votre vie qui puisse compliquer votre situation fiscale, cela ne vaut peut-être pas la peine de payer un professionnel.

Quand faire appel à un professionnelDans certaines situations, il est préférable d’engager un comptable plutôt que d’essayer de remplir vous-même votre déclaration de revenus.Les préparateurs d’impôts se tiennent au courant des codes fiscaux ainsi que des lois fiscales provinciales et fédérales.Un comptable peut vous recommander les déductions et les exemptions auxquelles vous avez droit et vous aider à planifier votre croissance future en vous informant de tout changement des exigences fiscales.Engagez un expert fiscal en cas de :

  • Changements majeurs dans la vie

Si vous vous êtes récemment marié (félicitations), vous pourriez avoir besoin d’un professionnel pour vous guider sur le statut de déclaration fiscale à utiliser. Bien que la plupart des couples préfèrent faire une déclaration conjointe, il y a certaines situations où il est plus logique de faire une déclaration séparée.Il ne s’agit pas seulement du mariage. D’autres événements marquants de la vie, comme l’agrandissement de votre famille et la naissance d’un enfant, la perte ou l’obtention d’un nouvel emploi, l’obtention d’un diplôme universitaire et un déménagement, peuvent tous avoir un impact sur votre déclaration de revenus et votre remboursement total potentiel.Un comptable peut vous aider à vous informer sur tout nouvel avantage ou toute nouvelle tactique pour minimiser votre obligation fiscale. De cette façon, vous pourrez profiter de tous les avantages fiscaux qui vous sont offerts.Un fiscaliste peut également vous aider à apprendre à naviguer dans votre déclaration de revenus cette année, afin que vous vous sentiez en confiance pour la remplir vous-même à l’avenir. Vous pouvez toujours recommencer à faire vos déclarations vous-même si d’autres changements majeurs ne se produisent pas dans votre vie l’année suivante.

  • Défaut de paiement dans le passé

Si vous avez omis de remplir les déclarations d’impôts nécessaires au cours des dernières années, adressez-vous à un expert fiscal.Ils connaissent les programmes offerts par l’ARC pour les personnes dans cette situation. Un comptable fiscal peut vous aider à remplir des déclarations sur plusieurs années, ce qui peut vous prendre beaucoup de temps à maîtriser, surtout à l’approche de la date limite de dépôt des déclarations fiscales, le 30 avril.Cela vous donne l’assurance que votre déclaration de revenus est produite correctement et la tranquillité d’esprit que vous êtes en règle avec l’ARC.

  • Propriétaire d’une entreprise

Si vous êtes propriétaire d’une entreprise, vous devriez probablement envisager d’engager un comptable pour préparer votre déclaration de revenus.Presque toutes les transactions financières s’accompagnent d’une sorte de conséquence fiscale. Votre comptable vous évitera de commettre des erreurs coûteuses, vous aidera à déclarer les éléments fiscaux avec précision et à maximiser les déductions.Vous devriez également faire appel à un préparateur d’impôt si vous avez acheté un bien locatif au cours de l’année.

  • Ne pas avoir le temps, tout simplement

La préparation des impôts implique la collecte de documents, l’examen des procédures et le remplissage des formulaires fiscaux. Il s’agit d’un processus notoirement lent et ennuyeux, ce qui explique pourquoi tant d’entre nous le redoutent et le remettent à la dernière minute.Si cette tâche peut sembler être un simple projet de week-end pour certains Canadiens, pour d’autres, ce n’est pas aussi évident. Peut-être pensez-vous que le temps que vous passeriez à faire vos impôts serait mieux employé ailleurs.Envisagez d’engager un expert fiscal si vous n’avez pas le temps ou la patience de préparer votre propre déclaration.En conclusionIl n’y a pas de réponse universelle correcte lorsqu’il s’agit de déclarer ses revenus avec un logiciel ou de faire appel à un comptable ou à un fiscaliste. En définitive, le choix se résume à la complexité de votre situation fiscale.Si votre situation fiscale est assez simple et que vous avez une certaine confiance dans votre capacité à travailler étape par étape avec un logiciel d’impôt, il est relativement moins cher de faire vos propres impôts de cette façon.Si votre situation fiscale est plus compliquée, l’embauche d’un préparateur d’impôts peut en valoir la peine.Assurez-vous simplement que le préparateur possède les bonnes références et des témoignages élogieux pour éviter d’être victime de fraudes fiscales.À vous de jouer…Que vous remplissiez vous-même votre déclaration de revenus ou que vous fassiez appel à quelqu’un d’autre pour le faire, envoyez votre déclaration avant le 30 avril.

Le 30 avril 2021 est la date limite officielle pour produire votre déclaration de revenus pour l’année 2020 et payer les impôts dus à l’Agence du revenu du Canada (ARC).

Pour ceux au québec: Vous pouvez produire votre déclaration déclaration d’impôt provincial jusqu’au 30 mai 2021 et vous ne serez pas pénalisé.

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