Rendre la pareille
Nous sommes passionnés par l’idée de rendre la pareille et d’avoir un impact positif sur les communautés dans lesquelles nous vivons et travaillons. Vous trouverez ci-dessous une liste d’organisations locales et nationales avec lesquelles nous avons eu le privilège de nous impliquer, que ce soit par notre temps, nos ressources ou d’autres formes d’engagement.

Fondation de l’Hôpital général de Montréal
Donateur majeur de la Plate-forme d’innovation clinique (CLIP).

Tournoi de golf caritatif Gordon Hoffman
Sponsor du tournoi de golf de charité Gordon Hoffman. Les recettes du tournoi permettent d’aider les enfants et leurs familles touchés par les troubles de l’apprentissage et le TDAH à Calgary, en veillant à ce qu’ils puissent accéder aux programmes et aux services nécessaires à leur réussite.

Tournoi de golf Shaw Charity Classic
Sponsor de la Shaw Charity Classic. Le CCN est un tournoi de golf professionnel annuel organisé à Calgary au profit d’organisations caritatives, d’enfants et de familles de l’Alberta. Il a permis de collecter plus de 93 millions de dollars au profit de plus de 270 organisations caritatives pour l’enfance et la jeunesse dans toute la province.

Organisation de la jeunesse du soleil
Chaque année, nous organisons une campagne de collecte de nourriture et de jouets neufs pour les enfants et les familles dans le besoin à Montréal.

Université de Concordia
Bourse d’études en cours d’études établie par le RWM en 2023. Cette bourse a pour but d’encourager et de récompenser les étudiants à temps plein de la JMSB qui s’identifient comme membres d’un groupe sous-représenté.

Université de Calgary
Le Rothenberg Wealth Management Award a été créé en 2023 pour aider à éliminer les obstacles financiers qui empêchent les étudiants méritants de couleur de poursuivre leurs études à la Haskayne School et de se concentrer sur leurs études.

Journée « Parlons-en » de Bell
Le Rothenberg Wealth Management Award a été créé en 2023 pour aider à éliminer les obstacles financiers qui empêchent les étudiants méritants de couleur de poursuivre leurs études à la Haskayne School et de se concentrer sur leurs études.

Fondation Cerveau Canada

Hommage au Dr Mulder (2023)

Hommage au Dr Mulder (2023)

Rothenberg donne en retour

Alors que la rentrée scolaire bat son plein, la période est propice pour aborder les meilleures pratiques en matière de régimes enregistrés d’épargne-études (REEE). Passons d’abord en revue les principes de base!
Principes de base du REEE
Le REEE est généralement le meilleur moyen de mettre de l’argent de côté pour les études, et ce, pour deux principales raisons :
1) la non-imposition des placements et
2) la Subvention canadienne pour l’épargne-études.
Le plafond cumulatif des cotisations à un REEE est de 50 000 $ par bénéficiaire. Le bénéficiaire est la personne dont les études seront payées par les fonds du REEE. Contrairement au compte d’épargne libre d’impôt (CELI) et au régime enregistré d’épargne‑retraite (REER), le REER ne comporte pas de limite de cotisation annuelle.
Les cotisations admissibles au REEE donnent droit à une subvention gouvernementale égale à 20 % du montant des cotisations, la Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE), qui s’applique à la première tranche de 2 500 $ cotisée à un REEE chaque année, sous réserve d’un plafond cumulatif de 7 200 $ par étudiant.
Les placements qu’on peut détenir dans un REEE sont des produits courants comme dans les CELI et les REER, c’est-à-dire des actions, des obligations, des parts de fonds commun de placement ou de FNB, etc.
Lorsqu’on retire d’un REEE l’argent correspondant aux cotisations originales, on ne paie aucun impôt! Toutefois, les retraits à même le revenu de placement et les subventions gouvernementales comme la SCEE sont imposables au nom de l’étudiant. Cet impôt s’applique au moment du retrait, car le revenu de placement – gains en capital, dividendes et intérêts – gagné à l’intérieur d’un REEE est à l’abri de l’impôt.
Vous pouvez ouvrir un REEE auprès d’une banque ou d’un représentant du Plan fiduciaire canadien de bourses d’études, mais il y a des avantages notables à vous adresser à votre conseiller. En effet, nos conseillers en gestion de patrimoine considèrent le REEE dans une perspective globale, ce qui leur permet d’optimiser les avantages du REER et son interaction avec vos autres placements.
Cotisation forfaitaire ou cotisations régulières?
Une fois ces principes de base acquis, examinons quelques stratégies de cotisation. Bien que l’idée de verser le plus tôt possible une cotisation égale au plafond cumulatif de 50 000 $ semble attrayante, parce que le rendement composé est maximisé et que l’argent croît à l’abri de l’impôt, elle implique que vous renonciez à une grande partie de la SCEE, parce que la SCEE est limitée à seulement 20 % de la première tranche de 2 500 $ cotisée par année. Si vous disposez d’une somme importante pour le REEE, une autre solution consiste à verser celle-ci d’abord dans un CELI, puis à la rediriger progressivement vers le REEE au fil des années. En définitive, la meilleure solution pour vous dépend de votre situation personnelle, et c’est pourquoi nos conseillers en gestion de patrimoine prennent le temps de connaître vos besoins et vos objectifs.
Que se passera-t-il si votre enfant ne fait pas d’études postsecondaires?
Si vous avez mis de l’argent de côté dans un REEE, mais que votre enfant ne poursuit pas ses études après l’école secondaire, lorsque le REEE atteindra l’échéance, les fonds provenant de la SCEE devront être entièrement remboursés et vos cotisations originales vous seront retournées sans pénalité. Toutefois, le revenu de placement connexe sera imposé au moment du retrait et soumis à une pénalité de 20 %. Étant donné qu’un REEE peut rester ouvert pendant 35 ans, vous avez amplement le temps de planifier le meilleur moyen de retirer les fonds du REEE dans l’éventualité où le bénéficiaire n’effectuerait pas d’études postsecondaires.
L’un de ces moyens consiste à cesser les cotisations au REER et à transférer graduellement le solde de votre REEE dans votre REER. En transférant ainsi l’argent, jusqu’à concurrence de 50 000 $, vous le garderez à l’abri de l’impôt et vous éviterez la pénalité de 20 %. Une autre façon de réduire l’effet de cet impôt et de la pénalité est de retirer l’argent durant une année où votre revenu est inférieur à la moyenne.
Finalement, il existe probablement une multitude de programmes d’études susceptibles de convenir à votre enfant, même s’ils ne conduisent pas à un diplôme universitaire. Les cours collégiaux et universitaires ne sont pas les seuls qui sont admissibles à un financement. L’inscription en elle-même suffit pour autoriser des retraits du REEE, de sorte que la réussite ou l’échec à un cours n’ont pas d’incidence sur la capacité de votre bénéficiaire de retirer des fonds.
Note connexe : les étudiants adultes
Les adultes peuvent également tirer avantage d’un REEE! Même si vous n’aurez malheureusement pas droit à la SCEE à cause des limites d’âge, le report d’impôt sur 35 ans peut vous aider durant les années où vous êtes aux études.
Plusieurs règles ont été mises en place pour que les REEE servent aux fins auxquelles ils sont destinés. Maintenant que vous connaissez ces règles, vous pouvez exploiter pleinement le potentiel du REEE! Nous vous suggérons de nous appeler au 514 934‑0586 afin d’examiner avec nous le meilleur parti que vous pouvez tirer du régime enregistré d’épargne-études.

Sur le marché canadien de la gestion de patrimoine, les actions accréditives (AA) se distinguent comme un outil puissant pour les investisseurs fortunés qui recherchent à la fois une efficacité fiscale et une exposition au secteur des ressources.
Dans cet article, nous allons examiner de plus près les actions accréditives, pourquoi elles constituent un placement stratégique fiscalement avantageux et qui devrait envisager de les ajouter à son portefeuille.
Comment fonctionnent les actions accréditives?
Le gouvernement canadien a introduit les actions accréditives pour encourager les investissements dans le secteur des ressources. Certaines sociétés de ce secteur, comme celles des industries minière, pétrolière et gazière, peuvent émettre des actions accréditives pour aider à financer leurs activités d’exploration et de développement de projets. Ces sociétés transfèrent, ou « font transiter », leurs dépenses d’exploration et de développement vers les investisseurs, ce qui permet à ces derniers de déduire ces dépenses de leur revenu imposable. Cette approche transfère les avantages fiscaux liés aux dépenses d’exploration de la société vers l’actionnaire.
Principaux avantages
Le principal attrait des actions accréditives réside dans leurs encouragements fiscaux :
- l’investissement est déductible à 100 % de votre revenu
- un crédit d’impôt fédéral à l’investissement (CII) de 15 % est offert pour les dépenses minières admissibles
- la réduction du revenu imposable peut permettre à certaines personnes de recevoir la sécurité de la vieillesse plutôt que de subir une récupération fiscale.
Un autre avantage d’investir dans des actions accréditives est qu’elles soutiennent directement l’expansion du secteur des ressources au Canada. En effet, ces investissements fournissent le financement essentiel nécessaire aux projets d’exploration, ce qui permet de découvrir de nouvelles ressources et de faire avancer les industries des ressources naturelles du Canada.
Stratégie d’investissement
Les actions accréditives conviennent particulièrement :
- aux investisseurs qui ont un revenu élevé et qui cherchent à réduire leur revenu imposable
- à ceux qui possèdent déjà un portefeuille diversifié et qui peuvent tolérer un risque plus élevé
- aux investisseurs intéressés à soutenir le développement des ressources canadiennes.
Risques et considérations
Malgré leur attrait fiscal, les actions accréditives comportent des risques importants, notamment :
- volatilité – les émetteurs sont souvent de jeunes sociétés d’exploration dont les perspectives sont incertaines;
- contraintes de liquidité – les actions accréditives sont souvent moins liquides que d’autres types d’investissement, ce qui signifie que les investisseurs peuvent avoir des difficultés à vendre leurs actions rapidement, en particulier dans un marché baissier;
- complexité fiscale – les avantages fiscaux associés aux fonds accréditifs sont complexes et nécessitent une gestion rigoureuse;
- risques réglementaires et environnementaux – les projets d’exploration sont soumis à l’évolution des politiques gouvernementales et à l’opposition des communautés.
Les actions accréditives sont un placement à haut risque, mais potentiellement très rentable. Votre conseiller en gestion de patrimoine est là pour vous aider à gérer ces risques et vous conseiller sur leur pertinence dans votre portefeuille. Votre conseiller :
- évaluera leur pertinence en fonction de vos revenus et de votre tolérance au risque
- vous aidera à remplir vos obligations fiscales
- surveillera les performances et la conformité de la société émettrice.
Conclusion
Les actions accréditives offrent une occasion intéressante d’économiser de l’impôt et d’investir dans le secteur des ressources naturelles. Pour un investisseur averti, elles peuvent constituer un complément stratégique à un portefeuille bien équilibré. Si vous souhaitez explorer les actions accréditives dans le cadre de votre stratégie d’investissement, contactez votre conseiller en gestion de patrimoine Rothenberg afin de déterminer si elles correspondent à vos objectifs financiers.
Tous les commentaires sont de nature générale et ne doivent pas être considérés comme des conseils personnalisés. Les points de vue et opinions exprimés dans ce commentaire ne reflètent pas nécessairement ceux de Harbourfront Gestion de Patrimoine. Bien que tout soit mis en œuvre pour garantir l’exactitude des informations, les faits et chiffres ne sont pas garantis, et le contenu ne vise pas à remplacer les conseils professionnels en matière d’investissement ou de fiscalité. Veuillez consulter votre comptable pour toute question relative au contenu de cet article et à votre situation fiscale personnelle. Les actions accréditives et autres produits sophistiqués ne conviennent pas à tous les investisseurs et comportent des risques spécifiques. Pour plus d’informations, veuillez-vous adresser directement à votre conseiller. Harbourfront Gestion de Patrimoine Inc. est membre du Fonds Canadien de Protection des Investisseurs et de l’Organisme Canadien de Réglementation des Investissements.
Sources :
Comment fonctionne le programme des actions accréditives (AA)?
What Are Flow-Through Shares in Canada? Tax Benefits & Ontario Tax Credit

Dans cet article, nous vous présentons quelques réflexions ayant trait à un dilemme bien connu, à savoir privilégier l’épargne retraite ou le remboursement d’un prêt hypothécaire.
La cotisation à un REER ou le remboursement d’un prêt hypothécaire sont des options qui, à première vue, paraissent avoir la même importance. Après tout, elles ont trait à des aspects primordiaux de votre parcours financier, c’est-à-dire votre retraite et votre succession. La bonne décision dépendra de votre situation personnelle. Examinons par conséquent chacune des options.
Cotisation à un REER
Le fait de cotiser à un REER peut avoir des avantages à court comme à long terme. En effet, les cotisations à un REER sont effectuées avant impôt, dégageant ainsi un avantage fiscal l’année où la cotisation est versée. En 2025, la cotisation maximale à un REER équivaut à 18 % du revenu gagné jusqu’à concurrence de 32 490 $. Toute portion inutilisée de ce plafond, également connue sous le nom de droits de cotisation inutilisés, peut être reportée à une année ultérieure.
En outre, l’argent investi dans un REER peut croître en franchise d’impôt jusqu’à son retrait. Parmi les options de placement du régime figurent les fonds communs de placement, les certificats de placement garanti (CPG), les FNB ainsi que des actions et obligations individuelles.
Outre le fait de profiter des cotisations avant impôt versées dans un REER, le principal atout d’un investissement dans ce type de régime est la croissance composée en franchise d’impôt des placements du compte.
Remboursement d’un prêt hypothécaire
Le remboursement d’un prêt hypothécaire peut faire disparaître les dépenses mensuelles les plus importantes du budget d’un propriétaire. La plupart des personnes s’inquiètent de la provenance de l’argent qu’ils devront consacrer au remboursement du prêt hypothécaire.
L’une des stratégies dont on dispose est de consacrer tous les mois un montant supplémentaire au remboursement du prêt hypothécaire. Cette somme augmentera le remboursement mensuel du capital. Selon le solde du prêt hypothécaire et du taux d’intérêt, vous pourriez être en mesure de réduire de plusieurs années la durée de remboursement du prêt hypothécaire : tel ne serait pas le cas si vous vous contentiez d’effectuer les versements mensuels demandés.
Il va sans dire que si le taux d’intérêt du prêt hypothécaire est élevé, vous auriez tout avantage à rembourser ce dernier aussi rapidement que possible.
Points dont il faut tenir compte
Âge. Il faut tenir compte de votre âge. Si la date de votre retraite est proche, le remboursement rapide de votre prêt hypothécaire peut s’avérer être une décision judicieuse. En effet, la disparition de ce versement mensuel avant votre retraite bonifierait le budget de cette dernière.
Si l’intéressé est plus jeune, il vaut mieux, en général, maximiser les cotisations au REER étant donné que la croissance en franchise d’impôt pourrait permettre d’accumuler un capital important en vue de la retraite. Les rendements dépendront de la répartition des fonds entre différents placements : sachez que les effets du rendement composé d’un placement en franchise d’impôt peuvent être phénoménaux au fil du temps.
Taux. Lorsqu’on pèse le pour et le contre d’une cotisation à un REER par rapport au remboursement d’un prêt hypothécaire, il faut absolument comparer le taux d’intérêt du prêt hypothécaire au taux de rendement prévu de l’épargne investie dans le REER. Si votre prêt hypothécaire est bloqué à 2,5 % et que vous pouvez obtenir un taux de rendement plus élevé de vos placements, le REER pourrait être l’outil à privilégier. Il est évidemment plus avantageux de cotiser le maximum possible dès qu’on le peut; la puissance de l’effet de capitalisation pourrait s’avérer un atout majeur pour les travailleurs après plusieurs années de carrière.
Impôts. En outre, le versement de cotisations dans un REER offre chaque année un excellent avantage fiscal qui pourrait d’ailleurs être le plus important offert chaque année aux intéressés.
Liquidité. Il faut également tenir compte du fait que l’argent immobilisé dans une habitation intégralement payée est en grande partie non liquide. Évidemment, vous pouvez toujours contracter un prêt sur valeur domiciliaire, le cas échéant, mais cela vous replace dans une situation semblable à celle qui était la vôtre lorsque vous deviez effectuer des paiements hypothécaires.
Pourquoi ne pas utiliser les deux méthodes?
La meilleure stratégie consiste peut-être à utiliser les deux méthodes.
Verser toutes les cotisations possibles dans votre REER pour profiter de la croissance d’un placement à imposition différée sur un plus long terme. Si les placements du REER sont investis convenablement, ils pourront vous aider à accumuler un capital appréciable en vue de votre retraite. Dans le cadre de ce processus il faudra étudier votre budget mensuel pour calculer si vous disposez d’un montant suffisant au remboursement mensuel du solde de votre prêt hypothécaire.
Évidemment, tout le monde n’est pas dans la même situation. Il serait donc judicieux d’examiner vos rentrées mensuelles pour fixer le montant de la cotisation à votre REER et celui qui permettra de rembourser plus rapidement votre prêt hypothécaire sans stress inutile.
Une autre option consiste à calculer le montant des économies d’impôt que vous réalisez grâce aux cotisations avant impôt que vous versez dans votre REER et d’imputer une partie ou la totalité de cet argent au remboursement anticipé de votre prêt hypothécaire.
Dans ce cas, il faut comparer le taux d’intérêt du prêt hypothécaire au rendement attendu des placements de votre REER. Généralement, le rendement du REER sera plus élevé au fil du temps, mais ce n’est pas toujours le cas.
Conclusion
La décision de cibler l’épargne retraite ou le remboursement d’un prêt hypothécaire dépend de la situation particulière de chacun. Parlez-en à l’un de vos conseillers afin de mettre au point la stratégie qui conviendra le mieux à votre situation et à vos objectifs.

Avec l’éclosion des fleurs et les journées qui s’allongent, le printemps est le moment idéal pour rafraîchir non seulement votre maison, mais aussi vos finances. Comme votre placard ou votre garage, vos finances peuvent devenir encombrées par des stratégies obsolètes, des comptes négligés et des occasions manquées. Effectuer un grand ménage financier au début du printemps peut vous aider à clarifier vos objectifs, à optimiser votre patrimoine et à préparer le terrain pour le reste de l’année.
Voici quelques conseils pour mettre de l’ordre dans vos finances :
- Faites le ménage de vos vieux comptes
Avez-vous des comptes bancaires inactifs, des cartes de crédit inutilisées ou des comptes d’investissement redondants? La consolidation peut réduire les coûts, simplifier la gestion et améliorer le suivi des performances. - Révisez votre budget et vos habitudes de dépenses
L’inflation et les changements de mode de vie peuvent grignoter vos économies de manière insidieuse. Examiner votre budget sur une base saisonnière vous permet de repérer les domaines où les dépenses ont augmenté ou diminué, et ainsi réorienter vos fonds vers vos priorités. Les logiciels de gestion financière ou les tableaux de bord sont des outils efficaces pour élaborer un budget mensuel. - Mettez à jour votre fonds d’urgence
L’incertitude économique qui persiste rend plus important que jamais de disposer d’un fonds d’urgence bien garni. Calculez la somme nécessaire pour subvenir à vos besoins pendant une période de trois à six mois. Assurez-vous de placer cet argent sur un compte facilement accessible en cas de besoin. Si vous avez récemment utilisé votre fonds d’urgence, établissez un plan pour le reconstituer. - Détruisez les documents financiers encombrants
Éliminez le papier quand vous le pouvez, et détruisez en toute sécurité les documents périmés. Organisez vos dossiers numériques afin de pouvoir y accéder facilement pendant la saison des impôts ou de la planification successorale. Ne conservez que les documents essentiels et déchiquetez le reste. - Contactez votre conseiller ou votre conseillère Rothenberg
Nous sommes toujours là pour vous accompagner! Des questions sur les investissements? Vous souhaitez discuter de votre portefeuille? Nous sommes à votre disposition pour répondre à vos questions, revoir vos investissements et discuter de vos objectifs.
Faire le ménage de vos finances au printemps ne consiste pas seulement à mettre de l’ordre – il s’agit de créer un espace propice à la croissance, à la clarté et à la confiance.